Rien ne prédestinait Armand Peugeot, fondateur de la marque en 1832, à placer un zéro sur la barre des dizaines de chacune de ses appellations. L’industriel n’était ni fétichiste, ni numérologue.

Les responsables du style avaient placé le sigle de chaque voiture à l’avant du capot. Or, à cette époque, le démarreur électrique n’existait pas encore. Il fallait bien mettre quelque part le trou pour la manivelle. Les ingénieurs ont alors fait d’une pierre deux coups. Le zéro serait percé !

La direction de Peugeot décida que ce serait là le signe distinctif de l’appellation de ses modèles. Elle déposa tous les numéros de trois chiffres comportant un zéro au milieu : de 101 à 909. Pour éviter que la concurrence n’imite l’astuce. Désormais, le démarreur électrique a été inventé, et les nouvelles Peugeot, plus grandes ont des dénominations avec deux zéros au milieu, comme la 2008. La tradition est sauve !

Pourtant elle n’a pas de toit, ça devrait être le contraire non ?

Eh non ! C’est clairement l’opposé, pour compenser le manque de rigidité par rapport à une voiture classique, le châssis d’un cabriolet est alourdi de plusieurs centaines de kilos pour avoir la même tenue de route que le modèle avec toit.

Porsche est le seul constructeur à fabriquer des voitures où l’on démarre par la gauche, juste un moyen de se démarquer ?

C’est plus utile que ça ! Tout remonte aux courses comme les 24h du Mans qui débutaient, jusqu’en 1969, « moteur coupé ». C’est à dire que les pilotes devaient courir jusqu’à leur véhicule pour ensuite démarrer et commencer la course.

Porsche ayant le souci du détail, mis le contacteur sur la gauche pour permettre aux pilotes de démarrer dans le feu de l’action avec la main gauche et ainsi libérer la main droite qui permettait de passer directement la 1ère et de gagner une poignée de secondes !

Tout commença au Moyen-âge où les chevaliers qui étaient pour la majeure partie droitiers portaient leur arme à

gauche pour dégainer l’épée plus facilement.Pour qu’il n’y ait pas de contact entre les deux épées et donc de malentendu quand des chevaliers se croisaient à cheval sur la route, chevaucher à gauche fut adopté.

Les combats commençant traditionnellement par la gauche, Napoléon bouleversa le sens pour surprendre ses ennemis en lançant la cavalerie par la droite, et imposa ce système à tous les pays qu’il a conquis, excepté l’Angleterre qu’il n’a jamais envahi.

À noter que les anciennes colonies de l’Angleterre comme l’Australie et l’Inde roulent eux aussi à gauche !

Et bien non, vous avez le choix de votre réparateur en cas de sinistre, qu’il soit agréé ou non par une assurance. Votre assurance ne peut pas vous imposer son réparateur « agréé »

Pour bénéficier de la garantie constructeur il n’est pas nécessaire de procéder aux révisions chez le constructeur de la marque comme l’indique l’arrêté du 26 mai 2014, modifiant l’arrêté du 28 Juin 2000 relatif à l’information des consommateurs :

« Art. 5-1. – Lorsque le vendeur propose une garantie commerciale au sens de l’article L. 211-15 du code de la consommation, il informe le consommateur que son bénéfice n’est pas subordonné à la réalisation des prestations de réparation et d’entretien non couvertes par cette garantie, par un réparateur du réseau agréé par le constructeur. Cette information figure, de façon claire et lisible, dans le carnet d’entretien du véhicule, quel que soit son support.

Le constructeur est obligé d’assurer, quoi qu’il arrive, la garantie contractuelle de ses véhicules, y compris lorsqu’ils ont été entretenus hors du réseau.